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Northstar Autopsy
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Francis L. Kaya
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Rêve #1 : Northstar Autopsy
Partage : Le titre de ce rêve a été reçu dans le rêve, à la toute fin, lorsqu'on me disait que le titre du documentaire était Northstar Autopsy.Rêve : Le rêve commence à Repentigny (ancienne ville où j'ai habité). Je suis dans un autobus avec plusieurs personnes. C'est comme une sorte d'autobus de groupe organisé qui s'en va visiter quelque chose. Nous sommes dans l'autobus et traversons un quartier de Repentigny de la classe socio-économique basse. Il y a plusieurs blocs d’appartements et il y a beaucoup de gens qui sont sur leur balcon. Certains fument, d'autres regardent, ils ne font pas grand-chose en fait. À ce moment-là, une narration commence, comme dans un film, et c'est moi qui fais cette narration. Dans celle-ci, je commente ces gens qui sont sur leur balcon et j'ai du jugement envers eux. Je trouve qu'ils utilisent mal leur temps ; ils devraient faire quelque chose plutôt que de rester sur leur balcon à « rien faire ». Je commente ce qui arrive lorsqu'une classe sociale décroche de la société. C'est ce que je décris dans le documentaire et je m'apprête à aller visiter une sorte d'industrie avec des gens. Tout le groupe organisé s'y rendait. Dans l'autobus, je suis avec mes 2 grandes soeurs et je leur parle du documentaire que je veux faire sur cette industrie-là, qui selon moi, a des pratiques spéciales ou quelque chose que je veux aller comprendre et approfondir. L'autobus continue et s'arrête de commenter ce qui se passe à Repentigny. On arrive à un quartier industriel, avec des industries de toutes sortes. L'usine est à droite du boulevard industriel. Elle est toute blanche et a l'air quand même belle, de haute technologie si l'on veut. Mais autour, il y a des grandes clôtures, vraiment vraiment hautes, au moins 10 mètres de haut, avec des barbelés et des affiches qui disent : « défense d'entrer » ou « endroit sous surveillance ». On voit que c'est un endroit protégé. L'autobus arrive et avant de sortir, je parle à mes 2 soeurs. Elles me disent qu'elles n'iront pas à l'intérieur de l'usine mais qu'elles vont m'attendre dehors, et que dès que j'aurai terminé, elles prendront la voiture et me rejoindront à l'extérieur pour repartir ensemble. Pour commencer mon documentaire, je prends un pad de notes pour pouvoir écrire et avoir l'air sérieux. Et je me mets une perruque rose, quelque chose d'un peu loufoque. Dans mon intention, je veux voir comment fonctionne l'usine et mettre un côté un peu « Patch Adams » dans ma démarche. Quand on arrive à 'entrée, il faut se mettre une sorte de sarrau. Mes soeurs sont dans l'entrée et me quittent, mais juste avant, quand elles voient le sarrau, elles me disent : «Ah, mets pas ça! ». Je dis : « Ben non, ben non, c'est correct, ça va être drôle ». Je suis un peu en retard en fait, car le groupe a déjà commencé (ce que je ne sais pas encore dans le rêve, c'est que tous les visiteurs ont eu une puce électronique avant de rentrer dans l'industrie) alors je fais vite pour entrer dans l'usine. Je me dépêche à mettre le sarrau et rejoindre le groupe et je n'ai pas de puce étant donné mon arrivée tardive. La personne qui dirige le groupe est déjà partie et elle donne des explications. Je ne passe pas par la même porte que le groupe. Eux ont passé par un couloir et moi je passe par une sorte de porte d'entrée générale et je me dépêche, je marche vite pour aller rejoindre le groupe. La visite guidée commence et elle explique ce que fait l'entreprise. La salle où nous sommes est blanche et vraiment immense. C'est comme une sorte de grand cercle et mesure 15-20 mètres de haut. En haut, au dernier étage, qui est grand et doit avoir au moins 20 pieds avant le plafond, ce sont toutes des fenêtres avec des gens qui peuvent regarder en bas ce qui se passe, des gens qui supervisent, etc. Mais ce dont je m'aperçois, c'est que je ne vois pas la même chose que les autres personnes, parce que je n'ai pas la puce électronique. Cette puce change la perception des gens. Sauf pour une personne qui est à côté de moi, comme une sorte de marginal, quelqu'un que dans la société, la majorité des gens « normaux » trouveraient bizarre. Mais je m'intéresse à ce qu'il peut avoir à dire et c'est comme s'il se réveille. Il a une puce, mais il se réveille. Il me dit : « Hey, vois-tu ce que je vois ? » Il m'explique qu'il prend une sorte de médicament pour sa santé (possiblement au niveau psychologique, car on voit que c'est une personne qui pourrait facilement se faire donner des médicaments s'il allait voir un psychologue ou un psychiatre, car il a une apparence un peu spéciale, il est différent des autres dans la façon dont il parle, s'habille, sa façon d'être, etc.), puis il dit : « Hey, regarde ce qu'il y a là! » À l'endroit qu'il désigne, il y a comme des conteneurs à déchets, des gros conteneurs de métal, et à l'intérieur on voit des membres, des bras, des choses soit coupées, brûlées ou toutes crispées qui ont été arrachées, comme dans un film d'horreur. Comme des membres qui ont été mutilés ; soit qu'on y a fait des expériences ou soit qu'ils ont eu des accidents au travail, des choses de ce genre. Il me dit : « Veux-tu aller voir dedans ? » C'est dégoûtant. Il y en a vraiment vraiment plein. Je dis : « Non, non, moi j'haïs voir ça, je m'excuse, je trouve ça... J'aime pas voir des choses pas belles comme ça, je ne peux pas regarder ». Il dit : « Il y a comme plein de bras, plein de choses comme ça » et il me décrit ce qu'il voit. Je lève un peu la tête et je vois un peu ce qu'il y a dans les conteneurs. Je me dis : «Ah mon dieu ». À peu près au même moment, je baisse les yeux sur mon tablier et je vois qu'il y a plein de sang, des morceaux de peau, des trucs de ce genre sur mon sarrau et je réalise : « Ah non, c'est pour ça que mes soeurs me disaient de ne pas mettre ça. », quand j'avais été pressé de rentrer. Je me rends compte que ce n’est vraiment pas propre, que ce qui se passe dans cette usine-là, ça n'a pas de bon sens. J'avais pensé au début que ce serait drôle de faire un documentaire, mais là je me rends compte en fait que je suis en danger, parce que les gens ont une puce, mais que moi je n'en ai pas, et que si les gens se rendent compte que je suis réveillé, ça irait mal pour moi. Je décide quand même d'aller dans les arrières-couloirs, là où il y a par exemple les escaliers de secours, les salles mécaniques, etc., qu'on ne voit pas normalement en tant que touriste ou visiteur. Ce n'est pas invitant. Alors je passe par ces couloirs et je me rends jusqu'à la cour extérieure, à l'arrière, puis là je vois des ouvriers qui travaillent sur des choses dehors, et d'autres qui sont dans leur « pause », car ils n'ont tellement plus d'énergie. Certains sont sortis pour essayer de se sauver, mais ils n'ont plus de force en fait. Ils sont accotés sur la clôture avec un bras qui essaie de grimper, mais ils sont vraiment dévitalisés. Ce ne sont pas des zombies en tant que tel, mais ils le sont en quelque part, car ils sont comme morts en fait. Ils n'ont plus de vitalité du tout et je me rends compte qu'ils sont prisonniers de cette usine-là finalement. Au même moment, je me rends compte que nous sommes dans une cour-arrière de Repentigny, avec les mêmes gens qu'il y avait au début, qui sont sur leur balcon et qui regardent. C'est comme s'il y avait un quartier pauvre proche de l'industrie, en arrière en fait. Dans la cour de l'usine. Ils me regardent et se demandent ce que je fais là. Je me dis qu'il ne faut pas qu'ils me voient, car si quelqu'un sonne l'alerte, ça irait mal pour moi. J'essaie de revenir vers le groupe discrètement. Je passe en-dessous des balcons de ces gens-là pour ne pas trop qu'ils me voient et je suis stressé. L'atmosphère générale du cauchemar est comme celle d'un film d'horreur. Je reviens vers le groupe et je dis au marginal « Écoute, il faut que je sorte d'ici tout de suite, avant que les gens se rendent compte que je n'ai pas la puce, parce que j'ai vu en arrière les conditions de travail des gens et ce sont des prisonniers, il faut sortir d'ici au plus vite ». À ce moment-là, le marginal reste avec le groupe. Comme s'il n'était plus réveillé comme auparavant. Il ne comprend pas pourquoi je suis stressé. Il reste là. Je me dis donc tant pis, je ne peux rien faire et je m'en vais. À la sortie, il y avait une de mes amies de l'université. Je lui demandais : « Mais qu'est-ce que tu fais ici ? Pourquoi travailles-tu pour cette usine-là ? » Elle répond : « Ah ben tsé, ils m'ont recrutée, ils trouvaient que je faisais bien mon travail et ils m'ont engagé. J'ai des bonnes conditions, etc. ». Je lui dis : « Écoute, moi il faut que je reparte ». Elle s'interroge : « Tu n'es pas avec le groupe ? » Je lui dis : « Non, non, non, mes soeurs m'attendent. Il faut que je reparte ». Elle me dit : « Ok, alors je vais désactiver ta puce ». Je lui réponds : « C'est un peu ça le problème, c'est que je n'en ai pas ». Elle dit : « Oh ! La sécurité va s'en venir sur toi ». Alors je lui dis : « Bien c'est ça, c'est pour ça que je veux absolument partir ». Alors elle dit : « Regarde, vas-y, essaie de sortir du mieux que tu peux. Il va falloir que tu grimpes par-dessus la clôture. Je ne pourrai pas te couvrir mais je vais ralentir la sécurité ». Alors je me dépêche, je cours, et à ce moment-là, mon fils est là. Je lui demande : « Mais Nathan, qu'est-ce que tu fais là ? » Il me répond : « Bien, je suis là, je t'attendais papa, dehors ». Je lui dis : « Ok viens, il faut vraiment se dépêcher, il faut sortir d'ici ». Alors nous courons jusqu'à la clôture et je lui dis : « Ok vas-y, grimpe, grimpe, on va y aller, on va y arriver ensemble ». La clôture est vraiment vraiment haute. Rendu au dernier grillage avant le barbelé, je tire vraiment fort pour arracher le grillage et en quelques coups, je l'arrache. Je dis à Nathan : « Ok vas-y, passe en premier, je vais te tenir et là, on va faire la même chose, mais on va descendre la clôture de l'autre côté. Mais il ne faut pas que tu regardes en bas. Il faut juste que tu descendes tranquillement, un pas à la fois, moi aussi je traverse ». Alors je traverse la clôture et je dis : « Continue, continue, on descend ». Il nous reste environ le 1/3 de la clôture à descendre et Nathan regarde en bas. Cela lui donne le vertige et il tombe en bas. Il se fait mal à une jambe. Elle n'est pas cassée ni rien, mais il est au sol et il pleure, il a mal. Je me dépêche vraiment à descendre la clôture et je le prends. Je lui dis : « Viens Nathan, c'est correct. On va s'occuper de ta jambe, mais là il faut vraiment partir d'ici, ok ? ». Je le porte, je le prends et par un timing excellent, mes sœurs arrivent au même moment en auto sur le bord de la route. Je leur dis : « Ok vite, il faut vraiment se dépêcher ». Je mets Nathan dans l'auto et je m'assois. Je dis : « Ok il faut partir d'ici au plus vite. N'attendez pas parce que la sécurité va s'en venir sur nous ». Nous partons alors sur la route et là, c'est vraiment spécial. C'est comme si nous allions être téléportés et quitter l'auto, Nathan et moi. Mais juste avant, c'est comme si nous arrivons au bout de la route et que le décor se terminait. Un peu comme dans le film The Truman Show, comme si tout cela était un décor et qu'à un moment donné, il y avait une fin. Et qu'en allant là, on voyait la réalité en arrière du décor. À ce moment, je me rends compte qu'en fait, justement, tout autour de l'usine, le décor industriel qu'on avait vu au début n'était pas vrai. C'était comme des images qui étaient projetées par l'usine pour que ça ait l'air d'un endroit réel, mais l'usine était toute seule, en plein milieu d'un bois ou d'une forêt infinie. C'était vraiment grand grand. Des kilomètres de forêt. Donc quand nous étions venus en autobus, tout ce que nous avions vu : la ville, les autres quartiers... tout cela n'était pas vrai. C'était seulement de la forêt finalement. Alors là, je dis à Nathan : « Écoute, je pense qu'il va falloir sortir de cette forêt-là au plus vite, parce qu'il y a des gens qui vont venir nous attraper, alors là il faut se sauver ». Nous courons alors ensemble dans la forêt et j'entends qu'il y a 2 gardes qui ordonnent de lâcher les loups. Il y a 5-6 loups environ qui sont lâchés, au loin, mais ils courent vraiment vite. Je dis alors à Nathan qu'il faut vraiment courir de notre plus vite. Puis, même si dans la logique du rêve, il aurait dû avoir mal à la jambe, non, là il courait. Nous courrions ensemble. Il y avait ensuite une famille de chevreuils. Certains s'étaient sauvés, mais il était resté 2 chevreuils ; comme un père avec son fils, ce qui nous ressemblait dans le modèle familial à ce moment. Le père chevreuil et son fils se mettaient à courir, mais comme pour nous protéger. Ils couraient en diagonale en arrière de nous, pour que les loups les attrapent eux, à la place de nous. Finalement les loups se jettent sur les chevreuils. Nous ne regardons pas en arrière, parce qu'on doit continuer d'avancer. Puis finalement, nous sortons de cet endroit. À ce moment, c'est comme si j’ai un point de vue d'observateur extérieur. C'est comme si cette partie du rêve se terminait là ; nous avions réussi à nous sauver. Je voyais alors du dessus (comme par une vue aérienne en mode « caméra »), 2 amérindiens dans la forêt qui regardent les corps morts des chevreuils et qui font comme : « Ah non, pourquoi... » Ils sont vraiment tristes que les loups aient attaqué les chevreuils. Les amérindiens semblent être les seuls habitants tolérés dans cette forêt. Ils font un rituel de remerciement au chevreuil et la scène se termine ainsi. Dans la phase suivante du rêve, j'ai terminé mon documentaire sur cette industrie. Je sais que ce sera controversé parce qu'il y a des gens qui n'y croiront pas, mais je veux raconter ce que j'ai vécu, ce que j'ai vu. Le documentaire joue au cinéma. Je vois alors l'affiche du documentaire et il s'appelle Northstar Autopsy. Sur l'affiche, c'est comme si nous voyons la moitié d'un visage, un peu comme la personnage dans X-Men qui s'appelle Mystique, avec la peau bleue et les cheveux oranges, qui est comme un caméléon, capable de se transformer dans toutes les différentes formes qu'elle souhaite. Elle a seulement à toucher la personne, ou à toucher l'objet, et elle peut se changer en n'importe quelle forme. Donc la personnage sur l'affiche rassemble à cela, mais sur son visage, on voit aussi un peu comme des codes-barres, des traces de chirurgie ou d'expériences scientifiques high-tech, comme une sorte d'humain avant été trafiquée par une industrie. Le documentaire va être présenté au cinéma et c'est comme la première du film. Le documentaire joue en 2 parties dans le cinéma et il y a comme un entracte. La première partie du film, c'est un peu comme celle qui vient d'être racontée (ce rêve). À l'entracte, les gens parlent et je vois beaucoup de mes amis de l'université qui sont venus voir le film. Ils prennent une bière et ils discutent : « Ouais bon, est-ce que je suis d'accord, pas d'accord, est-ce que c'est vrai ou exagéré ? » Mais dans le fond, ils rationalisent en fait. Ils intellectualisent le documentaire et ne le prennent pas vraiment comme si c'était vrai. Ils le voient plus comme un film de cinéma et ils le critiquent, comme certains critiques de cinéma le font. Je suis alors allé voir certains groupes, et je leur disais : « Écoutez, non, non, ce n'est pas un film que j'ai fait, c'est un documentaire. Nous avons pris des comédiens car nous n'avons pas le droit d'aller tourner à cette usine-là, évidemment, c'est sous haute surveillance et tout. Mais nous avons essayé de reproduire le plus fidèlement possible ce qui s'est passé. Ce n'est pas exagéré, non ». Certains doutent et d'autres sont vraiment d'accords. Mais c'est vraiment polarisé, à peu près 50/50. Il y a autant de gens qui prennent cela au sérieux, que de gens qui disent que ce n'est pas possible, que nous vivons dans une société avec des lois, etc. Ce sont les deux points de vue qui s'affrontent. Après l'entracte, dans la deuxième partie, j'avais décidé (pour faire comprendre aux gens la réalité de ce qui avait été vécu dans cette industrie) que le documentaire couperait sec à un endroit où la fin était non résolue, sans générique ou rien. Et à ce moment, des gens venaient, comme des autorités médicales et des gens de sécurité que j'avais payé, pour faire sortir les gens par un couloir un peu douteux. Comme pour leur faire vivre le moment où ils n'auraient pas le droit de sortir ailleurs qu'à l'endroit indiqué. Tout avait l'air sérieux avec des agents de sécurité, des gens habillés en blanc avec des sarraus, qui avaient l'air d'être des autorités médicales ou scientifiques. C'était pour leur faire vivre ce que les travailleurs vivaient là-dedans. Comme si nous les faisions sortir du cinéma par des sorties d'urgence ou alternatives. Finalement, quand ils arrivaient dehors, les gens réalisaient qu'ils étaient dans le stationnement arrière à l'extérieur et ils étaient rassurés. Mais pendant le transit, ces gens-là avaient vécu la peur que les ouvriers de l'usine pouvaient vivre pendant qu'ils travaillent. La présentation du film se terminait ainsi. Le lendemain, je voyais la critique dans le journal et le titre était : Northstar Autopsy, un documentaire qui ne fait pas l'unanimité. Cela racontait justement que l'auditoire était polarisé entre les sceptiques et les gens qui disaient que cela était vrai, qu'il fallait faire quelque chose et arrêter cette industrie-là.
Partage : Quand je me suis réveillé, évidemment, j'étais vraiment stressé. Je ne me sentais pas bien. Ce rêve est long à raconter mais tout cela s'est passé rapidement, comme un film d'action.
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