Rêves #1 : Mémoires du Japon

Rêve 1 : J'étais dans un drôle d'endroit (dehors ?) avec beaucoup de verdure, beaucoup de vert, c'était très beau. Il faisait soleil. Une voix me disait : « On va te montrer une de tes anciennes vies au Japon. »

Partage : À ce moment, dans la réalité concrète, je me suis semi-réveillée et je me suis dit : « Wow, c'est important ça, il faut que je m'en rappelle demain. »

Rêve 2 : J'étais un homme, asiatique, mais j'étais considéré par la population comme un étranger (comme si j'étais blanc). J'étais un soldat qui servait pour l'armée du pays dans lequel je me trouvais, mais ce n'était pas mon pays à moi (tous les gens autour de moi étaient asiatiques, j'étais dans un pays asiatique). J'avais une maîtresse qui avait un peu l'air d'une geisha (du maquillage dans le visage - le visage blanc, des espèces de triangles noirs autour des yeux, du rouge sur les lèvres, mais pas sur toutes les lèvres, ce qui crée l'impression d'une petite bouche - et des robes un peu dénudées avec des voiles, du tissu léger, assez ample avec beaucoup de tissu) et c'était la fille d'un de mes bons amis (un habitant de là, mais qui avait beaucoup d'influence et assez aisé financièrement, qui avait de l'argent). Puis, il y avait une scène où je regardais ma maîtresse danser dans une sorte de bar. J'étais assis à une table (je me suis vu) et je buvais de l'alcool. Je portais une chemise blanche et des pantalons noirs et j'avais des traits asiatiques, cheveux noirs (épais et un peu ondulés par contre), yeux foncés et teint foncé (et je ne comprenais pas pourquoi j'étais « blanc », pourquoi tout le monde me disait que j'étais blanc). Puis, il y avait une scène dans un lit où elle était avec moi (ma maîtresse). Plus tard, sa sœur (jumelle) avait tenté de me séduire, mais je l'avais repoussée. (Elle était habillée de la même façon, mais pas dans les mêmes couleurs (en bleu ? Et sa sœur en rouge ?). Son maquillage était un peu différent et elle avait le visage un peu plus allongé => on ne voyait pas vraiment les traits du visage ni de l'une ni de l'autre, mais on voyait quand même qu'elles étaient un peu différentes physiquement, même si elles étaient jumelles). Elles avaient toutes les deux les cheveux très longs noirs, attachés en queue de cheval. Plus tard, j'avais appris que la sœur jumelle était ma véritable maîtresse, qu'elle était tombée enceinte et avait eu un enfant de moi. Leur père voulait me tuer, alors la sœur de ma véritable maîtresse s'était fait passer pour sa sœur parce que les deux avaient eu une discussion ensemble et elle lui avait demandé : « Serais-tu prête à mourir pour l'homme que tu aimes ? » et ma maîtresse avait dit non. Mais comme sa sœur était prête à mourir pour l'homme qu'elle aimait, elle avait décidé de se faire passer pour sa sœur et avait passé beaucoup de temps avec moi (je ne m'étais jamais aperçu du changement). Le père me tuait (En me réveillant et en y repensant, je comprends que dans l'histoire (c'est sous-entendu dans le rêve, mais dans mon rêve je n'avais pas une très grande compréhension des événements et du pourquoi ils se déroulaient de cette façon), les deux sœurs étaient amoureuses de moi et que le père des deux filles ne voulait pas seulement me tuer moi, mais aussi sa propre fille, celle qu'il croyait être ma maîtresse (probablement parce qu'il n'était pas d'accord avec cette relation) et que la sœur de ma véritable maîtresse a été prête à se sacrifier, sauvant ainsi la vie de sa sœur). À un moment donné durant ce rêve, j’ai eu un genre de vision : l'image d'un œil de très près sur de la peau blanche, qui m'évoquait un peu Keanu Reeves dans le film «Le Dernier Samouraï » (l’œil était foncé, je crois, mais je n'arrive pas à me souvenir de la couleur précise). Rêve 3 : Ma mère et moi étions à Québec. Je marchais sur un chemin que je connaissais (représente des beaux souvenirs d'enfance avec mes amis, car j'ai habité à cette adresse dans le concret) et je voulais aller magasiner quelque part. Je visualisais faire un aller-retour dans la même journée, Ste-Agathe/Québec Québec/Ste-Agathe. Je me voyais prendre l'Inter (bus) jusqu'à St-Jérôme, ensuite prendre le bus voyageur jusqu'à Montréal, ensuite jusqu'à Québec, sans avoir acheté mes billets d'avance et prendre le risque qu'il reste de la place, pour ensuite aller à Place Laurier et revenir à Ste-Agathe dans la même journée. Je me disais ensuite que je pourrais lancer l'invitation à quelqu'un, dans mes amis, de m'accompagner pour aller magasiner à Place Laurier. Je me disais ensuite que ce n'était pas raisonnable, que je devrais plutôt aller à St-Jérôme seulement. J'étais ensuite de nouveau à Québec, sur le chemin de mon enfance, j'arrivais près du McDonald, juste avant l'intersection et le viaduc qui menait à mon ancien appartement. Tandis que je marchais, ma ballerine (soulier léger) défonçait au niveau du gros orteil droit. Je me disais que je pourrais m'acheter des souliers aussi. Je me disais que j'irais voir chez Hart, car la dernière fois j'avais trouvé des ballerines que j'avais gardé très longtemps au Rossy (Dans le concret, le Rossy a fermé et un Hart a ouvert au même emplacement). Dans mon rêve, j'étais à côté du petit centre d'achat où se trouve le Hart. Là, j'étais prise de doute, je réalisais qu'on était dimanche et qu'on avait notre bus pour partir de Québec et retourner à St-Agathe cette journée-là (et je travaillais lundi, soit le lendemain) et je me souvenais m'être levée très tard à l'appartement, je savais donc que je n'avais vraiment plus beaucoup de temps pour rester, que je devais plutôt me préparer à partir. J'avais ensuite un genre de flashback, je m'étais revue le matin même lorsque je m'étais levée, à notre ancien appartement où on avait pu séjourner comme s'il était encore à nous. Cela m'avait mélangé, car dans ma tête, c'était comme si on était déjà arrivé chez nous, puisqu'on avait aussi séjourné chez d'autres personnes durant le temps que l'on avait passé à Québec, avant d'aller à notre ancien appartement. Mais sur le coup, je ne me rappelais plus qu'on était déménagé et que donc nous n'habitions plus là. Dans ma tête, c'était comme si j'étais déjà entrée à la maison, donc j'avais oublié que je devais me préparer à repartir. Je me souvenais m'être levée dans mon ancien lit et être partie et je me souvenais aussi avoir laissé toutes mes affaires là. Je pensais que je m'étais levée passé 9h et que notre bus était aux environs de 11h alors j'essayais d'appeler ma mère (vu qu'il n'y avait vraiment plus beaucoup de temps pour prendre le bus). (Je marchais maintenant sur la même rue, mais de l'autre côté de la rue, en sens inverse, au lieu de me diriger vers mon ancien appartement, je me dirigeais vers la gare d'autobus). Je prenais mon cellulaire et j'essayais d'appeler ma mère. Au début, j'étais comme sur Facebook et j'essayais de faire un appel, mais ça appelait à un site (www.elephant.net) alors je raccrochais et l'essayais de trouver le nom du compte Facebook de ma mère. Je passais par un nom bizarre, qui me faisait penser au nom d'un Ange jusqu'à ce que je réalise que ça allait l'appeler sur son Facebook, ce qui ne donnait rien, parce qu'elle ne serait pas connectée vu qu'elle n'avait pas accès à internet, alors j'appelais sur son cellulaire. Je lui demandais si le bus était à 11h, et là elle disait « Je sais ». Je disais alors qu'on était juste dans le temps, elle me disait qu'il faudrait partir maintenant, alors je lui disais que j'allais me rendre jusqu'à la gare, qu'elle n'aurait qu'à tout prendre les bagages et me rejoindre là-bas, que tout était encore dans les sacs, mais que moi je n'aurais pas mangé, je n'aurais pas brossé mes dents, rien. Là, je pensais que j'avais peut-être laissé des choses dans la salle de bain, comme ma brosse à dents ou mon nettoyant pour le visage, et j'espérais qu'elle pense à vérifier que rien ne traînait nulle part, qu'elle les verrait et qu'elle penserait à les prendre. On raccrochait et j'espérais qu'on arrive à temps puisque les billets n'étaient pas échangeables ni remboursables, donc si on manquait le bus, on devrait acheter de nouveaux billets. Je me dirigeais donc vers le viaduc, mais je voyais comme un escalier, un peu comme la passerelle près d'une école du quartier, une passerelle qui permet aux piétons de passer par-dessus l'autoroute ; on y accède par des escaliers. Là, le téléphone sonnait, mais c'était comme celui du travail, non pas mon cellulaire. Alors je répondais : « [Nom du lieu où je travaille], bonjour » et je n'entendais rien. Alors je répétais et je voyais une fille devant moi (avec de longs cheveux noirs, la peau blanche, assez jeune, genre ado) qui disait « M'entendez-vous ? ». Je réalisais que c'était elle qui appelait, alors je marchais vers elle pour lui dire qu'elle ne captait pas de réseau et que c'était pour cela que son téléphone coupait.