Rêve #1 : Des rêves qui se réalisent

Le Rêve : J'ai fait un cauchemar sur un sujet précis qui me tient à cœur...Globalement, j'ai rêvé que le coffre à outils du jardin dont je m'occupe avait été fracturé. Et cela se passait le lundi à 14h10.

Partage de la rêveuse : J'ai eu ce rêve dans la nuit du dimanche au lundi et le lendemain, à la même heure où ça se passait dans mon cauchemar, soit le lundi a 14h10, en arrivant à ce jardin, je vois que le fameux coffre avait été fracturé... C'est la 2e fois dans ma vie que je fais un rêve qui se réalise. Le 1er, c’était il y a 25 ans.

Cet autre rêve : J'avais fait un cauchemar dans lequel mon fils se noyait dans un bocal et que je ne pouvais rien faire pour le sauver et le lendemain, il est tombé par la fenêtre...Depuis, il est handicapé.

Partage de la rêveuse : Comment expliquer ceci et comment ne pas « flipper » quand on s'aperçoit qu'un rêve peut se réaliser ?

Rêve #2 : Problèmes mécaniques

La situation : J'étais avec mes petits enfants, Élodie et Mathis. Tout d'abord, sur l'autoroute en passant sur le viaduc, juste avant la sortie Uzerche dans le centre de la France. Dans une courbe qui allait vers la droite, une voiture était en train de me doubler, son avant de voiture était au niveau de mon dossier. Je me rends compte qu'un énorme panneau rond en fer est au beau milieu des deux voies. Je ralentis, l'autre voiture aussi, puis j'évalue les distances entre le panneau et la rambarde, je pense que je peux passer à droite, c'était juste, mais ça a passé et I'autre voiture est passée elle aussi de justesse à gauche du panneau. J'ai appelé aussitôt la gendarmerie pour le signaler, c'est là que mes petits enfants et ma mère se sont réveillés. Puis j'ai dû faire le plein de gazole (gasoil) et à partir de ce moment-là ma voiture avançait par moments par à-coups. Tout le long du trajet, je réfléchissais: "Quelle était mon attitude dans mon avancée vers le social qui se passe par à coups ?”

Partage de la rêveuse : Faut aussi que je vous dise que je me questionnais, car j'avais repris contact avec mon ami avec qui je m'étais séparée depuis 9 mois, il me disait qu'il avait compris, qu'il ne buvait plus, mais en réalité, je m'étais aperçue avant de partir au Stage qu'il cachait les bouteilles de bière et buvait en cachette, je n'ai rien dit, mais cela me contrariait. Puis j'ai fait ma pratique récitatoire avec JABAMIAH en lui demandant de me permettre de revenir chez moi pour aller chez mon garagiste (je pensais que mon réservoir devait faire de la condensation).

Au mois d'août, mon garagiste était en vacances, donc j'ai attendu fin août. Entre temps, j'ai fait 1500 km (la majeure partie avec mes enfants), puis arrivée à la révision de ma voiture, déjà j'ai remercié très fort Jabamiah de m'avoir permis de m'occuper de mes petits sans encombre, mon garagiste prend ma voiture pour la mettre sur le pont pour la vidange, et me dit : « Je ne pense pas que ce soit ni l'eau dans le réservoir, ni une saleté dans le filtre à gasoil. » II prend son appareil électronique pour contrôler, qui annonce: « Câble électrique défectueux. » lI me fait voir le paquet de câbles électriques à contrôler et ne savait pas par où commencer ! II me demande si j'avais du temps, car cela pouvait être long. Dans ma tête, je faisais ma pratique récitatoire en demandant que la recherche soit rapide, car je craignais I'addition. Il décide de commencer par la vidange. Après avoir monté la voiture sur le pont, il passe dessous avec sa baladeuse et me dit, tout content : « J'ai trouvé la panne sans même la chercher !» (la lumière de la baladeuse a fait brillé le fil coupé; qui a attiré son attention). Il me fait voir le fil coupé, et bien franchement, il se demandait comment j'avais pu arriver jusqu'à son garage. Sans ce fil connecté, je ne pouvais avancer, et pourtant j'ai fait 1500 km avec des à coups, mais je les ai bel et bien fait, c'est pour cela que je dis il y a qu'une seule chose qui a pu se passer ; mon bel Ange m'a fait tenir les fils tant bien que mal tout au long de mes pratiques récitatoires (mon Ange tenait-il le fil dans mon moteur ?) Trois ans avant, j'avais eu un souci mécanique, en panne complète qui m'a coûté très cher (changement de pot catalytique 2 fois en fin de compte, ce n'était qu'une durite qui fuyait). Cela est une autre histoire que j'ai comprise et travaillé sur moi sur I'abus de confiance, par rapport aux escroqueries commerciales que j'ai dû faire dans mes autres vies, car dans celle-ci, je me suis toujours arrangée à être le plus honnête possible, depuis mon plus jeune âge. J'ai compris aussi pourquoi j'en étais fière...inconsciemment, je devais savoir que je ne l'avais pas toujours été ? Et là, mon garagiste n'a même pas comptabilisé la soudure du fil.

Partage de la rêveuse : Le pot catalytique ou catalyseur est un élément de l’ensemble du pot d'échappement des moteurs à combustion interne qui vise à réduire la nocivité des gaz d'échappement. Durite: Tuyau de caoutchouc spécialement traité, servant à raccorder des tubulures dans un moteur à explosion. C'est vraiment fabuleux de se rendre compte de tout cela !! Comme c'est BON !! C’est peut-être pour me faire voir que cette partie-là est nettoyée ? (Je le pense) Toutefois Kaya ! Si tu vois des points, des précisions qui pourraient m'enrichir spirituellement, merci de m'en faire part, comme le panneau au milieu de l'autoroute ? Cela signifie quoi ? Car il y a 1 an de cela, il m'est arrivé à peu près la même chose, sur l'autoroute pour aller chez ma fille, un jour de pluie battante, je ne voyais pas à 15 m, au beau milieu des 2 voies. Pareil, une échelle double était tombée d'un camion devant moi, il y avait beaucoup de circulation, je I'ai évitée par la droite aussi, et j'ai téléphoné aussi à la gendarmerie pour le signaler. Je sais et pense que j'ai quelque chose à comprendre, ai-je compris sans m'en rendre compte..?

Rêve #3 : Construction et tuiles

Un rêve :  Je suis sur un chantier avec mon époux et on est en train de reconstruire des murs en pierres. II y des toitures de tuiles tout juste refaites et des murets sur lesquels il y a des tuiles rosées. En contrebas, il a deux hommes qui travaillent aussi dans leur maison, je grimpe sur un muret et là, les tuiles commencent à se détacher, je suis en hauteur et j'essaie de me retenir, mais je sens que tout va s'écrouler, j'appelle mon époux à l'aide, je crie: « Viens vite, je vais tomber! ». lI me dit: « Oui j’arrive ». Mais le temps me paraît long. Je le rappelle de nouveau: « Vite! Vite! Je ne tiens plus, je glisse... » Il arrive enfin pour m'aider et je descends afin d'aller prendre un bain. Avant cela, les hommes qui travaillent plus bas passent entre nous et le deuxième me demande si je pourrais lui donner une brouette de pierres, je lui dis sans hésiter que oui, je pense que nous en avons tant, que je peux lui en faire cadeau, je l'expliquerai à mon époux, car je sais qu'il tient à ces cailloux. Puis je suis dans mon bain, les travailleurs passent devant ma fenêtre ouverte et je les vois passer. lIs regardent dans ma direction, mais ne peuvent me voir. Moi je peux les observer derrière les battants ouverts, ils me cherchent du regard, je crois. Je ne bouge pas, je suis bien dans mon bain. Puis je vois un oiseau se poser, il s'approche de moi comme pour me demander de l'aide. Il est blanc-beige, c'est un canari, il a quelque chose dans la gorge, on dirait qu'il veut me parler, mais ne peut pas. Il s'agite et je dis à mon époux de venir m'aider, car il y a un problème avec l'oiseau. J'essaie de l'aider, mais ce n'est pas une épine comme je le croyais, je crois que c'est un autre oiseau noir qui lui est entré dans le bec et qu'il va mourir... Mon époux arrive pour m'aider, mais je vois l'oiseau, il va mourir... Il y a trois hommes, les deux autres du chantier arrivent aussi trop tard, je suis atterrée car l'oiseau est mort... Je dis: « Pourquoi il a fait ça ?? Ça ne va pas !!! » Je ne me sens pas bien et je ressens une douleur au ventre, je pose ma main et je m'aperçois que je saigne sous le nombril, comme si j'avais été blessée. Les trois hommes viennent m'aider avec pudeur, car je suis nue au sortir du bain, ils me couvrent avec une serviette de bain blanche et rose. Il faut que j'aille à l'hôpital. Je marche vers l'hôpital et je tiens ma main sur mon ventre, je ne sens rien, pas de douleur...J'ai un médecin qui m'accompagne, je le serre dans mes bras et je l'embrasse, il me fait penser à quelqu'un, mon époux peut-être, mais ce n'est pas lui... Il va m'accompagner jusqu'aux urgences, je lui passe les mains sur les muscles fessiers et il me regarde. Nous fusionnons du regard, puis nous passons dans un tunnel et j'arrive à la porte d'un hôpital. À cet endroit, il y a un médecin en blouse blanche et pantalon bleu, il a un stéthoscope. Il est brun, on dirait un Indien, il va m'accompagner à la salle d'attente. Je lui dit que j'ai mal au ventre et que je dois voir un docteur. Il m'amène vers une salle d'opération, où deux femmes opèrent. Il y a la chirurgienne, elle est japonaise et il y a une aide avec elle. Elle me fait asseoir, je me tiens toujours le ventre. Je leur dis que j'aimerais qu'on s'occupe de moi. Je ne suis pas sur la planification des opérations… Il y a d'autres personnes opérées, l'aide me fait asseoir sur une chaise, mais la chirurgienne lui dit qu'elle va m'opérer. Je me retrouve sur la table et je ne sens rien, il y a une anesthésie, je ne sais pas si j'ai le ventre ouvert, mais je les entends et je les vois. La chirurgienne dit: « Cette femme a eu de la chance! Ou bien elle a sentie quelque chose, elle devait le savoir car en allant au toilette, elle devait s'apercevoir d'un problème d'évacuation des matières, les selles ne s'évacuant pas correctement ou de façon aléatoire, il y avait un gros risque d'occlusion plus grave, qui lui aurait été fatal....Je répare tout ça.» Je me réveille…